Ah les femmes! Il suffit qu'elles arrivent pour que la pagaille s'installe. C'est avec un début d'histoire un peu cliché que Peyo nous sert finalement une histoire assez drôle, résumant parfaitement à travers ses Schtroumpfs qu'une femme quand elle est moche et chiante, on s'en fout totalement, mais qu'une fois qu'elle est canon, on devient complètement c*n. J'exagère, mais on n'est pas loin d'une certaine vérité. C'est évidemment sur le ton de l'humour constant et parce que Peyo ne se prend jamais au sérieux que c'en est drôle. C'est aussi le seul album où la Schtroumpfette a un rôle digne de ce nom. La seconde histoire, La faim des Schtroumpfs est très réussie et reste l'une de mes préférées.