lecture jusqu'au tome 5.
Last Hero Inuyashiki démarre bien. On sera touché par la façon dont le père, vieillissant, est représenté. Mais le manga souffrira du syndrome de "mal écriture car prépublié dans un périodique".
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C'est-à-dire qu'il souffre de scènes gratuites qui n'apportent rien à l'histoire dans sa globalité, simplement pour rendre l'histoire plus longue (je dirais que le Père qui sauve la fille des Yazukas est un bon exemple).
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Ou avec des persos dont l'écriture ou leur concept change en cours de route. Hiro Shishigami est cet ennemi détestable à arrêter au début, mais l'histoire essaye de nous forcer à l'aimer ? Il nous montre des bullies de 2ch qui ont conduit au suicide de sa mère et on devrait avoir de l'empathie quand il se venge ? Etrange. Il y a aussi de la romance qui se dessine avec lui et une meuf. Bizarre.