« Le Tueur, volume 10, le cœur à l'ouvrage » se montre plus convaincant que son prédécesseur et fait presque oublier le caractère ubuesque de certaines situations.
Fort heureusement, Jacamon et Matz délaissent bien vite l'idée de la reconversion du Tueur en employé de bureau grassement payé pour le replacer dans son élément : les meurtres, exécutés avec toujours la même insolente facilité, comme si les mercenaires américains ex-navy seals ou CIA ne faisaient pas le poids.
Cuba, Miami, Londres puis un Paris sur lequel notre Tueur philosophe décharge toute sa rancœur anti-européens et enfin le Vénézuela : les déplacements donnent le tournis, créent de la variété et permettent à Matz de faire éclater son fantastique talent graphique.
De nouveau accroché par les aventures du Tueur ? Oui !
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