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Promesse tenue
Le pitch ne m'a pas vraiment convaincu mais la BD promettait des histoires réalistes et captivantes de manipulations, conflits d'intérêts, faux rapports humains ; je n'ai pas été déçu. J'ai été...
Par
le 12 oct. 2018
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S'il est une qualité que l'on peut attribuer sans regret au scénariste Corbeyran, c'est sa capacité à d'adaptation. Cet homme est capable de scénariser n'importe quoi. Cette fois, il nous entraine dans une histoire de vin, d'héritage familiale et de magouilles.
Alexandra, jeune selfmade woman fraichement revenue des USA pour enterrer son paternel, va reprendre les rênes du domaine. Pour relancer les ventes en bernes et au passage relancer sa vie stagnante. Tout est fait, presque subtilement pour que la donzelle n'est pas le choix. Les seconds rôles demeurent très classiques, autant dans leurs dessins ( on reconnait au premier coup d'œil les méchants ) que dans leurs caractères.
L'intrigue reste sans surprise et pose les bases de suites que j'espère plus mouvementé. Par contre, j'ai beaucoup apprécié le côté pédagogique (je suis plutôt bourgogne dans l'âme) qui m'a permis de découvrir le Médoc et ses alentours ainsi que le métier du vin.
Au final, une bd qui se déguste sans déplaisir, mais qui souffre de son académisme. Une sorte de Maitres de l'orge version bordelaise.
Alexandra, jeune selfmade woman fraichement revenue des USA pour enterrer son paternel, va reprendre les rênes du domaine. Pour relancer les ventes en bernes et au passage relancer sa vie stagnante. Tout est fait, presque subtilement pour que la donzelle n'est pas le choix. Les seconds rôles demeurent très classiques, autant dans leurs dessins ( on reconnait au premier coup d'œil les méchants ) que dans leurs caractères.
L'intrigue reste sans surprise et pose les bases de suites que j'espère plus mouvementé. Par contre, j'ai beaucoup apprécié le côté pédagogique (je suis plutôt bourgogne dans l'âme) qui m'a permis de découvrir le Médoc et ses alentours ainsi que le métier du vin.
Au final, une bd qui se déguste sans déplaisir, mais qui souffre de son académisme. Une sorte de Maitres de l'orge version bordelaise.
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le 29 nov. 2014
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A la vôtre !
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