Après une curieuse première page qu'on croirait dessinée à une autre époque, le récit retrouve ses marques graphiques et vient se placer parmi les meilleurs de la série, avec une panne de voiture providentielle qui dispense Jérôme d'un baptême dans la famille de sa copine Babette (dont on se demande ce qu'elle fait encore avec un type pareil, mais passons...). Cette fois, il se retrouve au milieu d'un drame dont les échos secouent une famille endeuillée, et le thème est plus grave qu'à l'accoutumée, malgré les traits d'humour, le chien sympathique et les paysages bucoliques. Un contraste plutôt bien dosé.