Le Gang des gaffeurs - Gaston (2009), tome 15 par Alligator

mars 2009:

On atteint les sommets. Franquin en station apothéotique signe chaque planche d'un Franquin thématique astucieux.

Prunelle bosse à son corps défendant dans les locaux de chez Dupuis et tente, avec un courage et une abnégation qui lui vaudrait au Vatican la béatification immédiate, de dompter l'impétuosité et la curiosité puérilo-poétique d'un Gaston encore plus rêveur et surréalisant à chaque instant.

Difficile de dire quel album est le meilleur. Celui-ci fait partie des tous meilleurs s'il n'est le meilleur en tout cas.

Rien que pour les quelques planches de plages ensoleillées perturbées par le retour à la dure réalité du courrier en retard, rien que pour l'aquarium géant pour Bubulle, rien que pour les expériences explosives et amusantes du petit chimiste Gaston, rien que pour ses appeaux, rien que pour... tout le reste.
Alligator
9
Écrit par

Créée

le 6 nov. 2013

Critique lue 312 fois

3 j'aime

Alligator

Écrit par

Critique lue 312 fois

3

Du même critique

Cuisine et Dépendances
Alligator
9

Critique de Cuisine et Dépendances par Alligator

Pendant très longtemps, j'ai débordé d'enthousiasme pour ce film. J'ai toujours beaucoup d'estime pour lui. Mais je crois savoir ce qui m'a tellement plu jadis et qui, aujourd'hui, paraît un peu plus...

le 22 juin 2015

55 j'aime

3

The Handmaid's Tale : La Servante écarlate
Alligator
5

Critique de The Handmaid's Tale : La Servante écarlate par Alligator

Très excité par le sujet et intrigué par le succès aux Emmy Awards, j’avais hâte de découvrir cette série. Malheureusement, je suis très déçu par la mise en scène et par la scénarisation. Assez...

le 22 nov. 2017

54 j'aime

16

Holy Motors
Alligator
3

Critique de Holy Motors par Alligator

août 2012: "Holly motors fuck!", ai-je envie de dire en sortant de la salle. Curieux : quand j'en suis sorti j'ai trouvé la rue dans la pénombre, sans un seul lampadaire réconfortant, un peu comme...

le 20 avr. 2013

53 j'aime

16