Bon, Uderzo décide de faire vivre son personnage jusqu'au bout, séparé tristement de son acolyte scénariste aussi ingénieux que talentueux, il décide de mener la barque tout seul. L'album est loin d'être mauvais même si l'on perd en charme, avec cette fable shakespearienne sauce gauloise. Le méchant de l'histoire est un peu harassant (harengsant) et les grosses ficelles scénaristiques se ressentent trop. Dessin bon, clair, quelques traits d'humour mais l'absurdité de la fin et les facilités scénaristiques peinent à égaler la qualité des albums précédents.