Vive la suite des aventures du vaisseau Infinity 8. Cette fois-ci, si Lewis Trondheim est toujours au scénario, il s'est adjoint les services de Davy Mourier pendant que Lorenzo de Felici dessine. Ann Ninurta change des autres héroïnes de la série. Mère-célibataire, elle se bat pour garder sa fille et si ses missions sont importantes, sa vie de mère l'est également. C'est donc un dilemme auquel elle fait face lorsqu'elle doit aller au bout de ses limites et peut-être même risquer sa vie -mais, ça je n'en dirai pas plus.
Pour ce cinquième épisode, qui en compte 8, je le rappelle pour ceux qui ne suivraient pas ce blog assidument, ce qui, je le rappelle itou, est une faute de goût, une erreur monumentale, que dis-je, un erreur impardonnable -sauf bien sûr si vous vous précipitez, vous abonnez et faites exploser mes statistiques, et comme ça je deviendrais le maître des blogueurs, ah ah ah ah (rire sardonique)... bon, je crois que je vais me calmer un peu sur la SF.
Pouf pouf, je reprends, puisque je n'ai pas fini ma phrase précédente, je disais donc : pour ce cinquième épisode, qui en compte 8, je le rappelle pour ceux qui ne suivraient pas -euh, non, ça je ne le répète pas-, pour cet épisode donc, l'héroïne est confrontée à des zombies. Chouette. Oui, mais non, parce que des zombies, c'est cool, mais là, ce sont des zombies aliens, encore plus mieux que cool. Et puis Ann, elle est cool aussi, elle ne dit pas non à un petit coup en douce avec un beau mec, même si les fameux zombies-aliens perturbent un brin les flirst et que conter fleurette à un beau gars lorsqu'on est entourée de monstres morts-vivants est un peu étrange.
Atmosphère à la fois légère et tendue pour cet excellent épisode de cette excellente série. Tout est bien comme d'habitude, scénario, dessins et couleurs. Vite, la suite !