On passe d'un extrême à l'autre, Jean-eudes hautain et prétentieux, quasi dirigeant d'une secte spirituelle de développement personnelle VS Antoine l'épicier bio qui vit dans une immense villa isolé dans la forêt qui récite des mini-contes initiatiques.
C'est terriblement cliché, l'ancien homme d'affaires qui après avoir fait fortune qui décide de voyager a pied, la femme qui se lance avec succès dans l'écriture. Et bien sur on a droit aux portraits de personnes pauvres mais heureuses en Asie qui nous font relativiser...