Après avoir lu le roman, j’ai moyennement adhéré aux caractères d’Anne Frank. J’ai eu l’idée de changer de support et essayer de renouer avec ce personnage historique. Cependant, cela ne m’a pas aidé. Décidément, je n’arrive pas à m’attacher à ce personnage. Elle m’a permis de faire abstraction de ces réflexions désobligeantes sur sa mère et sa sœur pour me concentrer sur les informations historiques.
Cependant, les auteurs accentuent les informations historiques, la vie cachée… Comment sont-ils dépendants des bonnes âmes qui les cachent pour la nourriture et d’autres choses ? Leur secret est un secret de polichinelle. Et pourtant, il tient la route longtemps, mais pas assez. Et puis, le nombre de leurs bienfaiteurs diminue. Petit à petit, il leur manque des vivres, comment ils organisent leur journée pour ne pas être découvert et surtout comment vont-ils essayer de participer aux dépenses quotidiennes ? La vie à l’annexe est assez morne.
La suite de ma chronique :
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