Alors, bien sûr, gnagnagna, c'est le 21 volume de l'univers de Lanfeust, et évidemment, blablabla, on pourrait ressentir une certaine lassitude, sans compter que, rheuteuteu, l'Episode 8 de Starwars "ne sert à rien"... Il faut s'y faire, chaque bonne recette contemporaine est déclinée jusqu'à l'indigestion, mais, comme disait ma mère pleine de son légendaire bon sens jurassien : "on aime ou on aime pas mais on dit pas beurk". En d'autres termes à peine plus choisis, libre aux esprits chagrins de s'acheter la Pléiade de d'Ormesson ou de relire le tome 2 du Quichotte dans le texte, car, pour ma part, je suis fort aise de me re-re-replonger dans les eaux tumultueuses de cette saga potache et débridée qui propulse son falot de héros hirsute et post-ado dans des courants scénaristiques retors pendant que dehors, il pleut et il fait moche. En attendant le printemps, j'en prends plein les yeux et trouve le temps moins long, jusqu'à ce que ça soit enfin mon tour de dessiner.