certes la vie d'alexandre jacob merite le detour, qui plus est le decoupage en chapitres et le dessin de chemineau sont superbes et fluidifient la lecteur du travailleur de la nuit mais j'ai plus de mal dans le portrait de ce personnage jusqu'au boutiste incroyable et revelateur des travers d'une autre epoque mais il y a aussi cet aspect sombre, contredisant souvent son discours idealiste (un meurtrier quand il se retrouve gené) qui n'est pas suffisamment appuyé sur l'ensemble de l'ouvrage pour contrebalancer ce charisme profil ici érigé en hėros du dėbut du siècle (saisissante postface). un détachement personnel donc qui justifie une note en deca de ce qu'elle aurait pu etre si le traitement etait plus egalitaire