5
Premier manqué
Probablement la plus mauvaise histoire des Tuniques Bleues jusqu'ici. Ca démarrait bien, avec des soldats moroses et Chesterfield et Blutch pour tenter de remonter le moral de la troupe. Que ce soit...
Par
le 20 déc. 2011
2 j'aime
6.3
BD franco-belge de Raoul Cauvin et Willy Lambil (1988)
Les Bleus de la balle - Les Tuniques bleues, tome 28 par Antevre
Contrairement à d'autres, j'ai plutôt bien aimé cet épisode.
Les troupes nordistes sont démoralisées. Sans affrontement depuis plusieurs semaines, les soldats sont oisifs, et dépriment. On ne compte plus les suicides, les automutilations et les désertions. Alors que Chesterfield ramène Blutch et d'autres soldats qui ont tenté de déserter, le voilà contraint de les faire fusiller. Mais le général lui confie également la mission de trouver une manière de distraire les troupes. Chesterfield prend la seule décision possible pour sauver ses camarades: les faire passer pour une chorale....
Malgré le personnage de danseur étoile plutôt lourd introduit vers la moitié de l'album, l'idée de départ est plutôt bonne, et pas mal de bonnes choses se cachent un peu partout. Cauvin a même poussé le vice jusqu'à composer quelques alexandrins à faire réciter par Chesterfield, et même s'ils ne sont pas folichons, ce souci du détail mérite d'être souligné.
Un album plus qu'honnête qui m'a fait assez rire.
Les troupes nordistes sont démoralisées. Sans affrontement depuis plusieurs semaines, les soldats sont oisifs, et dépriment. On ne compte plus les suicides, les automutilations et les désertions. Alors que Chesterfield ramène Blutch et d'autres soldats qui ont tenté de déserter, le voilà contraint de les faire fusiller. Mais le général lui confie également la mission de trouver une manière de distraire les troupes. Chesterfield prend la seule décision possible pour sauver ses camarades: les faire passer pour une chorale....
Malgré le personnage de danseur étoile plutôt lourd introduit vers la moitié de l'album, l'idée de départ est plutôt bonne, et pas mal de bonnes choses se cachent un peu partout. Cauvin a même poussé le vice jusqu'à composer quelques alexandrins à faire réciter par Chesterfield, et même s'ils ne sont pas folichons, ce souci du détail mérite d'être souligné.
Un album plus qu'honnête qui m'a fait assez rire.
6
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le 18 nov. 2014
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4 commentaires
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