L'idée de départ est intéressante puisqu'elle ouvre la porte a toute une série de situations qui vont ensuite se retourner comme des chaussettes. L'occasion pour Goscinny de s'en prendre à nouveau à l'une de ces cibles préférées, la couardise et la versatilité de la foule, pour ne pas dire son imbécilité. Petit bémol au sujet de Rantaplan moins drôle que d'habitude et calé sur un gag récurent qui s'épuise. Contrairement à ce qu'on a pu lire ça et là, l'album n'a rien d'un pamphlet contre la réinsertion des condamnés, cette réinsertion les auteurs n'on rien contre à condition qu'elle ne soit pas faite n'importe comment ! (cf page 46)