Un sixième volume qui n'est pas le meilleur de la série. On retrouve bien sûr le thème des androïdes et l'idée de savoir s'ils pourraient devenir accessibles à une forme de liberté en pensée et en action, s'ils pourraient rêver, aimer.... Bref, s'ils pourraient supplanter les humains en mieux notamment dans un contexte de guerre où ils se montreraient indispensables. Le graphisme est fidèle à la série, agréable à regarder, sans grande originalité ni extravagance mais il cadre à l'histoire. Et c'est là que la déception s'installe au fur et à mesure. Le récit se met bien en place mais petit à petit, il devient moins prenant, se perd dans des digressions essayistes qui tournent en rond car déjà traité un peu partout dans le cinéma, la littérature et le SF. Du coup, cela retombe à plat en partie, surtout sur la fin. Mais à lire tout de même si l'on a commencé ce cycle.