Les Indes fourbes
8.1
Les Indes fourbes

BD franco-belge de Alain Ayroles et Juanjo Guarnido (2019)

Oh mais quelle merveille !! En plus du génie du récit, de la mise en scène, c'est très très bien écrit. Je n'avais encore jamais vu un tel niveau de langue dans une BD.

Erratum
9
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Top 10 BD

Créée

le 13 juil. 2023

Critique lue 24 fois

Erratum

Écrit par

Critique lue 24 fois

D'autres avis sur Les Indes fourbes

Les Indes fourbes
SBoisse
9

Le pauvre Pablos, les ruffians et l’Eldorado

Alain Ayroles lâche le XVIIe siècle et les héros anthropomorphes de Cape et de crocs pour le Grand siècle espagnol. Il ne nous propose pas moins que le second tome, jamais écrit, des aventures de...

le 2 sept. 2019

27 j'aime

5

Les Indes fourbes
EricDebarnot
7

La estafa

"Les Indes Fourbes" a été, forcément, l’événement BD de l'année 2019. L'alliance de deux maîtres du 9ème Art, un grand scénariste à la prose élégante - Ayroles - et un immense dessinateur - Guarnido...

le 8 déc. 2019

19 j'aime

Les Indes fourbes
Fatpooper
4

De l'autre côté du tableau.

Bof. L'intrigue est faible : la narration est mal pensée, on passe tout le bouquin à suivre un type qui nous raconte son histoire, mais rares sont les scènes qu'on vit vraiment en 'temps réel', la...

le 28 mars 2020

13 j'aime

Du même critique

Eye in the Sky
Erratum
10

Enoooooorme

Le concept album par excellence. Pour moi Silence and I c'est du niveau de Bohemian Rapsody. Il fallait que ce soit dit.

le 15 janv. 2024

1 j'aime

HHhH
Erratum
8

Mérite d'être lu

La virulence des critiques est pour moi une vraie surprise.. Une histoire principale autour de laquelle gravitent de multiples anecdotes qu'on ne trouve pas forcément dans les livres d'Histoire...

le 17 avr. 2014

1 j'aime

Le Maître du haut château
Erratum
9

Critique de Le Maître du haut château par Erratum

Un ovni, une horreur, ou une merveille. La dimension "historique" (ou uchronique) n'est qu'un prétexte. C'est du Pink Floyd, du David Lynch, du grand n'importe quoi au service du talent, ou l'inverse.

le 16 avr. 2014

1 j'aime