c toujours la même chose en mode gros bill: une épreuve, il triche en mode god et va à la prochaine épreuve avec un big boss plus puissant; ajouter à cela le jargon un peu chiant technocatho et un mode double narration : vas y que je te répète en prenant par la main car tu es trop con pour suivre l'histoire (encadré+ répétition par Albino et son animal qui s'écoute parler, 'wow ct dur hein? oui mais pas comme après petit'). Albino est tellement puissant que ça en devient ridicule, il n y a même pas de crédibilité dans la manière dont il déjoue ou réussit ses épreuves. Les psychologies de sa mère, frère, soeur, péres qui passent de la haine méprisante à la candeur bienveillante est grossièrement amenée, c dommage car l'idée est bonne mais c'est fait sans finesse et trop rapidement, il n' y a pas eu de prise de temps pour basculer subtilement de la méchanceté à la bonté.
C'est dommage, c bien dessiné (j'adore la rondeur organique et le style unique) mais le scénario est un peu bourrin et répétitif sans apport réelle par rapport à une pensée ou une réflexion sur la technologie, les jeux vidéos, la religion. Ca manque d'inspiration qui se dépasse. C'est surtout dur quand on sort de la lecture de l'Incal (avant et après l'Incal).