Retrouvailles...
Comme pour le volume II de "Palomar City", j'ai trouvé assez "ardu" de se replonger dans l'univers riche et complexe de "Locas", la multiplication de personnages (pas toujours reconnaissables...
Par
le 18 oct. 2014
2 j'aime
Comme pour le volume II de "Palomar City", j'ai trouvé assez "ardu" de se replonger dans l'univers riche et complexe de "Locas", la multiplication de personnages (pas toujours reconnaissables d'ailleurs, le trait élégant de Jaime Hernandez ayant tendance à "uniformiser" quelque peu la beauté de ses héroïnes) et d'intrigues. Mais, même en n'étant pas sûr d'y comprendre grand chose, entre histoires de familles déchirées et de cœur pas en meilleur état, le charme a opéré quand même, peu à peu. Finalement, il s'agit plus ici de pénétrer un univers, d'y trouver peu à peu ses marques, (presque) de construire une relation avec des personnages qui nous deviennent infiniment proches et chers, au fil des trois cent pages et quelques de ce deuxième volume des "aventures" de Maggie (qui devient ici Perla) et de Hopey... qui sont cette fois séparées et galèrent rudement chacun de leur côté... Jusqu'à ces retrouvailles romantiques et foudroyantes, dans les dernières pages, qui mettront les larmes aux yeux des plus radicalement punks d'entre nous. [Critique écrite en 2009]
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 18 oct. 2014
Critique lue 226 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Locas - Love and Rockets, volume 2
Comme pour le volume II de "Palomar City", j'ai trouvé assez "ardu" de se replonger dans l'univers riche et complexe de "Locas", la multiplication de personnages (pas toujours reconnaissables...
Par
le 18 oct. 2014
2 j'aime
Du même critique
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
205 j'aime
152
Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été passées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
Par
le 15 janv. 2020
192 j'aime
118
Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
Par
le 15 sept. 2020
191 j'aime
25