Nanar en BD ? Même pas...
J'ai eu la possibilité de lire l'édition intégrale. Je le regrette. Si je n'avais eu que le premier tome, je me serai arrêté là et basta.
On a passé l'an 2000, il est encore possible de faire éditer une BD où l'on parle d'un évangile inconnu, de templiers, de sortilèges... et de manuscrits (oui, avant l'invention de l'imprimerie, ils sont forts les gars, ils préfèrent lever l'ambiguïté pour les lecteurs du futur) !
On ne comprend rien à l'intrigue (ça se veut ésotérique, c'est foutraque). L'héroïne bénéficie (?) d'une étonnante faculté à changer de visage au fil des cases...
Au cinéma, ça aurait été un nanar. Là, c'est juste mauvais.