Vacances dans le temps
Par où commencer ? Panaccione m’avait émue dans Un océan d’amour grâce à son dessin si (faussement) simple mais si beau, expressif, et sa très juste utilisation des couleurs. Là encore, aucune...
Par
le 9 déc. 2016
4 j'aime
2
BD franco-belge de Giorgio Albertini et Grégory Panaccione (2016)
Nous sommes quelque part dans le monde, à une certaine époque (pas éloignée de la notre) et le chrono tourisme bat son plein. Passer ses vacances dans une autre époque que la notre relève du bonheur "all inclusive" fuyant le monde moderne pour des vacances exotiques. Mais voyager dans le temps suscite également des risques : se faire percuter par un mammouth en dévalant les stations de ski du Paléolithique, se faire kidnapper par une tribu cannibale. Pour remédier à ce genre d'aléas, une équipe de d'expert en différentes périodes de notre Histoire est recrutée : Les Chronosquad!
Dans ce premier tome peu concluant, je regrette le style de Panaccione que l'on pouvait voir dans un Océan d'amour, ici dans un style un peu plus grossier, et des dialogues sans grande convictions. On ne voit pas bien où l'on veut nous mener sinon les mystères du voyage dans le temps où l'on voit se tramer un voyage initiatique pour Telonius Bloch, un Gaston des transmutations temporelles.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Tu veux rire?
Créée
le 13 nov. 2016
Critique lue 458 fois
D'autres avis sur Lune de miel à l'âge du bronze - Chronosquad, tome 1
Par où commencer ? Panaccione m’avait émue dans Un océan d’amour grâce à son dessin si (faussement) simple mais si beau, expressif, et sa très juste utilisation des couleurs. Là encore, aucune...
Par
le 9 déc. 2016
4 j'aime
2
« Chronosquad », lors de sa sortie, avait attiré mon attention. Le thème du voyage dans le temps, bien qu’éculé, permet de créer des histoires foisonnantes, et la critique était très positive. Le...
Par
le 30 août 2017
2 j'aime
Avant tout, je n'ai pas aimé Un océan d'amour, du même panaccione. Les collages, textures numeriques, et les couleurs moches, je trouve ça affreux. C'est visuellement pénible, tout comme l'était un...
Par
le 30 oct. 2016
2 j'aime
Du même critique
L'anthropologie de la nature dans un microcosme : la ZAD de Notre-Dame des Landes. Alessandro Pignocchi s'y trouve en 2018, lors des expulsions de la ZAD alors que le projet d'aéroport est abandonné...
le 13 août 2019
3 j'aime
"Le quatrième mur, celui qui empêche le comédien de baiser avec le public…Cette façade imaginaire que les acteurs construisent en bord de scène pour renforcer l'illusion." J'ai découvert le texte de...
le 17 nov. 2016
3 j'aime
1
Si ce roman graphique décrit un drame familial avec sûrement une réalité profonde et une actualité tout aussi brulante, je trouve qu'il surfe un peu sur la vague et ne va pas assez loin dans les...
le 7 nov. 2016
3 j'aime
1