L'actualité sur Oleg
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2021 • Roman graphique de Frederik Peeters
Résumé : « Bon, la dégaine du personnage, on verra plus tard… Pour l’instant je l’imagine vaguement avec ma tête, c’est plus facile… » Oleg est dessinateur de bande dessinée. Son quotidien, depuis plus de vingt ans, tourne autour de ça: dessiner, raconter. Et tout ceci coule naturellement, jusqu’à maintenant, jusqu’à ces jours récents, où la création semble patiner, où les projets se succèdent mais la conviction n’est plus vraiment là – comme si quelque part, «l’influx était perdu». Alors Oleg creuse, cherche et réfléchit. Autour d’Oleg, il y le grand et vaste monde, rapide, changeant, moderne, déstabilisant, inexorable. Ermite assumé mais observateur attentif, Oleg est le témoin malgré lui de ce monde en perpétuelles mutations, un monde qui amène son lot d’événements et de surprises, bonnes comme mauvaises. Et puis surtout il y son petit monde à lui: la femme dont il partage la vie depuis deux décennies, et leur fille, en pleine adolescence. Tout juste vingt ans après Pilules bleues, Frederik Peeters se raconte à nouveau mais troque le « je » pour le « il », et, en utilisant cet avatar qu’est Oleg, brouille les pistes et esquive le piège de la trivialité. A travers ces chroniques, tour à tour drôles, incisives, touchantes, voire surprenantes, il lève ainsi (partiellement) le voile sur son métier et son quotidien de dessinateur, et se faisant, pointe nombre de contradictions qui hantent notre époque: ultra-modernité technologique et pensée réactionnaire, culte de la superficialité et quête d’authenticité, surabondance et désarroi. Mais on pourra aussi, tout simplement, lire Oleg comme une belle déclaration d’amour que fait l’auteur à celles qui lui sont le plus proches – et comme un rappel, dépourvu de mièvrerie, que c’est cette force-là qui nous permet de sublimer le banal, et de tenir face à l’adversité.
2021 • Roman graphique de Frederik Peeters
Résumé : « Bon, la dégaine du personnage, on verra plus tard… Pour l’instant je l’imagine vaguement avec ma tête, c’est plus facile… » Oleg est dessinateur de bande dessinée. Son quotidien, depuis plus de vingt ans, tourne autour de ça: dessiner, raconter. Et tout ceci coule naturellement, jusqu’à maintenant, jusqu’à ces jours récents, où la création semble patiner, où les projets se succèdent mais la conviction n’est plus vraiment là – comme si quelque part, «l’influx était perdu». Alors Oleg creuse, cherche et réfléchit. Autour d’Oleg, il y le grand et vaste monde, rapide, changeant, moderne, déstabilisant, inexorable. Ermite assumé mais observateur attentif, Oleg est le témoin malgré lui de ce monde en perpétuelles mutations, un monde qui amène son lot d’événements et de surprises, bonnes comme mauvaises. Et puis surtout il y son petit monde à lui: la femme dont il partage la vie depuis deux décennies, et leur fille, en pleine adolescence. Tout juste vingt ans après Pilules bleues, Frederik Peeters se raconte à nouveau mais troque le « je » pour le « il », et, en utilisant cet avatar qu’est Oleg, brouille les pistes et esquive le piège de la trivialité. A travers ces chroniques, tour à tour drôles, incisives, touchantes, voire surprenantes, il lève ainsi (partiellement) le voile sur son métier et son quotidien de dessinateur, et se faisant, pointe nombre de contradictions qui hantent notre époque: ultra-modernité technologique et pensée réactionnaire, culte de la superficialité et quête d’authenticité, surabondance et désarroi. Mais on pourra aussi, tout simplement, lire Oleg comme une belle déclaration d’amour que fait l’auteur à celles qui lui sont le plus proches – et comme un rappel, dépourvu de mièvrerie, que c’est cette force-là qui nous permet de sublimer le banal, et de tenir face à l’adversité.
2021 • Roman graphique de Frederik Peeters
Résumé : « Bon, la dégaine du personnage, on verra plus tard… Pour l’instant je l’imagine vaguement avec ma tête, c’est plus facile… » Oleg est dessinateur de bande dessinée. Son quotidien, depuis plus de vingt ans, tourne autour de ça: dessiner, raconter. Et tout ceci coule naturellement, jusqu’à maintenant, jusqu’à ces jours récents, où la création semble patiner, où les projets se succèdent mais la conviction n’est plus vraiment là – comme si quelque part, «l’influx était perdu». Alors Oleg creuse, cherche et réfléchit. Autour d’Oleg, il y le grand et vaste monde, rapide, changeant, moderne, déstabilisant, inexorable. Ermite assumé mais observateur attentif, Oleg est le témoin malgré lui de ce monde en perpétuelles mutations, un monde qui amène son lot d’événements et de surprises, bonnes comme mauvaises. Et puis surtout il y son petit monde à lui: la femme dont il partage la vie depuis deux décennies, et leur fille, en pleine adolescence. Tout juste vingt ans après Pilules bleues, Frederik Peeters se raconte à nouveau mais troque le « je » pour le « il », et, en utilisant cet avatar qu’est Oleg, brouille les pistes et esquive le piège de la trivialité. A travers ces chroniques, tour à tour drôles, incisives, touchantes, voire surprenantes, il lève ainsi (partiellement) le voile sur son métier et son quotidien de dessinateur, et se faisant, pointe nombre de contradictions qui hantent notre époque: ultra-modernité technologique et pensée réactionnaire, culte de la superficialité et quête d’authenticité, surabondance et désarroi. Mais on pourra aussi, tout simplement, lire Oleg comme une belle déclaration d’amour que fait l’auteur à celles qui lui sont le plus proches – et comme un rappel, dépourvu de mièvrerie, que c’est cette force-là qui nous permet de sublimer le banal, et de tenir face à l’adversité.
2021 • Roman graphique de Frederik Peeters
Résumé : « Bon, la dégaine du personnage, on verra plus tard… Pour l’instant je l’imagine vaguement avec ma tête, c’est plus facile… » Oleg est dessinateur de bande dessinée. Son quotidien, depuis plus de vingt ans, tourne autour de ça: dessiner, raconter. Et tout ceci coule naturellement, jusqu’à maintenant, jusqu’à ces jours récents, où la création semble patiner, où les projets se succèdent mais la conviction n’est plus vraiment là – comme si quelque part, «l’influx était perdu». Alors Oleg creuse, cherche et réfléchit. Autour d’Oleg, il y le grand et vaste monde, rapide, changeant, moderne, déstabilisant, inexorable. Ermite assumé mais observateur attentif, Oleg est le témoin malgré lui de ce monde en perpétuelles mutations, un monde qui amène son lot d’événements et de surprises, bonnes comme mauvaises. Et puis surtout il y son petit monde à lui: la femme dont il partage la vie depuis deux décennies, et leur fille, en pleine adolescence. Tout juste vingt ans après Pilules bleues, Frederik Peeters se raconte à nouveau mais troque le « je » pour le « il », et, en utilisant cet avatar qu’est Oleg, brouille les pistes et esquive le piège de la trivialité. A travers ces chroniques, tour à tour drôles, incisives, touchantes, voire surprenantes, il lève ainsi (partiellement) le voile sur son métier et son quotidien de dessinateur, et se faisant, pointe nombre de contradictions qui hantent notre époque: ultra-modernité technologique et pensée réactionnaire, culte de la superficialité et quête d’authenticité, surabondance et désarroi. Mais on pourra aussi, tout simplement, lire Oleg comme une belle déclaration d’amour que fait l’auteur à celles qui lui sont le plus proches – et comme un rappel, dépourvu de mièvrerie, que c’est cette force-là qui nous permet de sublimer le banal, et de tenir face à l’adversité.
2021 • Roman graphique de Frederik Peeters
Résumé : « Bon, la dégaine du personnage, on verra plus tard… Pour l’instant je l’imagine vaguement avec ma tête, c’est plus facile… » Oleg est dessinateur de bande dessinée. Son quotidien, depuis plus de vingt ans, tourne autour de ça: dessiner, raconter. Et tout ceci coule naturellement, jusqu’à maintenant, jusqu’à ces jours récents, où la création semble patiner, où les projets se succèdent mais la conviction n’est plus vraiment là – comme si quelque part, «l’influx était perdu». Alors Oleg creuse, cherche et réfléchit. Autour d’Oleg, il y le grand et vaste monde, rapide, changeant, moderne, déstabilisant, inexorable. Ermite assumé mais observateur attentif, Oleg est le témoin malgré lui de ce monde en perpétuelles mutations, un monde qui amène son lot d’événements et de surprises, bonnes comme mauvaises. Et puis surtout il y son petit monde à lui: la femme dont il partage la vie depuis deux décennies, et leur fille, en pleine adolescence. Tout juste vingt ans après Pilules bleues, Frederik Peeters se raconte à nouveau mais troque le « je » pour le « il », et, en utilisant cet avatar qu’est Oleg, brouille les pistes et esquive le piège de la trivialité. A travers ces chroniques, tour à tour drôles, incisives, touchantes, voire surprenantes, il lève ainsi (partiellement) le voile sur son métier et son quotidien de dessinateur, et se faisant, pointe nombre de contradictions qui hantent notre époque: ultra-modernité technologique et pensée réactionnaire, culte de la superficialité et quête d’authenticité, surabondance et désarroi. Mais on pourra aussi, tout simplement, lire Oleg comme une belle déclaration d’amour que fait l’auteur à celles qui lui sont le plus proches – et comme un rappel, dépourvu de mièvrerie, que c’est cette force-là qui nous permet de sublimer le banal, et de tenir face à l’adversité.
2021 • Roman graphique de Frederik Peeters
Résumé : « Bon, la dégaine du personnage, on verra plus tard… Pour l’instant je l’imagine vaguement avec ma tête, c’est plus facile… » Oleg est dessinateur de bande dessinée. Son quotidien, depuis plus de vingt ans, tourne autour de ça: dessiner, raconter. Et tout ceci coule naturellement, jusqu’à maintenant, jusqu’à ces jours récents, où la création semble patiner, où les projets se succèdent mais la conviction n’est plus vraiment là – comme si quelque part, «l’influx était perdu». Alors Oleg creuse, cherche et réfléchit. Autour d’Oleg, il y le grand et vaste monde, rapide, changeant, moderne, déstabilisant, inexorable. Ermite assumé mais observateur attentif, Oleg est le témoin malgré lui de ce monde en perpétuelles mutations, un monde qui amène son lot d’événements et de surprises, bonnes comme mauvaises. Et puis surtout il y son petit monde à lui: la femme dont il partage la vie depuis deux décennies, et leur fille, en pleine adolescence. Tout juste vingt ans après Pilules bleues, Frederik Peeters se raconte à nouveau mais troque le « je » pour le « il », et, en utilisant cet avatar qu’est Oleg, brouille les pistes et esquive le piège de la trivialité. A travers ces chroniques, tour à tour drôles, incisives, touchantes, voire surprenantes, il lève ainsi (partiellement) le voile sur son métier et son quotidien de dessinateur, et se faisant, pointe nombre de contradictions qui hantent notre époque: ultra-modernité technologique et pensée réactionnaire, culte de la superficialité et quête d’authenticité, surabondance et désarroi. Mais on pourra aussi, tout simplement, lire Oleg comme une belle déclaration d’amour que fait l’auteur à celles qui lui sont le plus proches – et comme un rappel, dépourvu de mièvrerie, que c’est cette force-là qui nous permet de sublimer le banal, et de tenir face à l’adversité.
2021 • Roman graphique de Frederik Peeters
Résumé : « Bon, la dégaine du personnage, on verra plus tard… Pour l’instant je l’imagine vaguement avec ma tête, c’est plus facile… » Oleg est dessinateur de bande dessinée. Son quotidien, depuis plus de vingt ans, tourne autour de ça: dessiner, raconter. Et tout ceci coule naturellement, jusqu’à maintenant, jusqu’à ces jours récents, où la création semble patiner, où les projets se succèdent mais la conviction n’est plus vraiment là – comme si quelque part, «l’influx était perdu». Alors Oleg creuse, cherche et réfléchit. Autour d’Oleg, il y le grand et vaste monde, rapide, changeant, moderne, déstabilisant, inexorable. Ermite assumé mais observateur attentif, Oleg est le témoin malgré lui de ce monde en perpétuelles mutations, un monde qui amène son lot d’événements et de surprises, bonnes comme mauvaises. Et puis surtout il y son petit monde à lui: la femme dont il partage la vie depuis deux décennies, et leur fille, en pleine adolescence. Tout juste vingt ans après Pilules bleues, Frederik Peeters se raconte à nouveau mais troque le « je » pour le « il », et, en utilisant cet avatar qu’est Oleg, brouille les pistes et esquive le piège de la trivialité. A travers ces chroniques, tour à tour drôles, incisives, touchantes, voire surprenantes, il lève ainsi (partiellement) le voile sur son métier et son quotidien de dessinateur, et se faisant, pointe nombre de contradictions qui hantent notre époque: ultra-modernité technologique et pensée réactionnaire, culte de la superficialité et quête d’authenticité, surabondance et désarroi. Mais on pourra aussi, tout simplement, lire Oleg comme une belle déclaration d’amour que fait l’auteur à celles qui lui sont le plus proches – et comme un rappel, dépourvu de mièvrerie, que c’est cette force-là qui nous permet de sublimer le banal, et de tenir face à l’adversité.
2021 • Roman graphique de Frederik Peeters
Résumé : « Bon, la dégaine du personnage, on verra plus tard… Pour l’instant je l’imagine vaguement avec ma tête, c’est plus facile… » Oleg est dessinateur de bande dessinée. Son quotidien, depuis plus de vingt ans, tourne autour de ça: dessiner, raconter. Et tout ceci coule naturellement, jusqu’à maintenant, jusqu’à ces jours récents, où la création semble patiner, où les projets se succèdent mais la conviction n’est plus vraiment là – comme si quelque part, «l’influx était perdu». Alors Oleg creuse, cherche et réfléchit. Autour d’Oleg, il y le grand et vaste monde, rapide, changeant, moderne, déstabilisant, inexorable. Ermite assumé mais observateur attentif, Oleg est le témoin malgré lui de ce monde en perpétuelles mutations, un monde qui amène son lot d’événements et de surprises, bonnes comme mauvaises. Et puis surtout il y son petit monde à lui: la femme dont il partage la vie depuis deux décennies, et leur fille, en pleine adolescence. Tout juste vingt ans après Pilules bleues, Frederik Peeters se raconte à nouveau mais troque le « je » pour le « il », et, en utilisant cet avatar qu’est Oleg, brouille les pistes et esquive le piège de la trivialité. A travers ces chroniques, tour à tour drôles, incisives, touchantes, voire surprenantes, il lève ainsi (partiellement) le voile sur son métier et son quotidien de dessinateur, et se faisant, pointe nombre de contradictions qui hantent notre époque: ultra-modernité technologique et pensée réactionnaire, culte de la superficialité et quête d’authenticité, surabondance et désarroi. Mais on pourra aussi, tout simplement, lire Oleg comme une belle déclaration d’amour que fait l’auteur à celles qui lui sont le plus proches – et comme un rappel, dépourvu de mièvrerie, que c’est cette force-là qui nous permet de sublimer le banal, et de tenir face à l’adversité.
2021 • Roman graphique de Frederik Peeters
Résumé : « Bon, la dégaine du personnage, on verra plus tard… Pour l’instant je l’imagine vaguement avec ma tête, c’est plus facile… » Oleg est dessinateur de bande dessinée. Son quotidien, depuis plus de vingt ans, tourne autour de ça: dessiner, raconter. Et tout ceci coule naturellement, jusqu’à maintenant, jusqu’à ces jours récents, où la création semble patiner, où les projets se succèdent mais la conviction n’est plus vraiment là – comme si quelque part, «l’influx était perdu». Alors Oleg creuse, cherche et réfléchit. Autour d’Oleg, il y le grand et vaste monde, rapide, changeant, moderne, déstabilisant, inexorable. Ermite assumé mais observateur attentif, Oleg est le témoin malgré lui de ce monde en perpétuelles mutations, un monde qui amène son lot d’événements et de surprises, bonnes comme mauvaises. Et puis surtout il y son petit monde à lui: la femme dont il partage la vie depuis deux décennies, et leur fille, en pleine adolescence. Tout juste vingt ans après Pilules bleues, Frederik Peeters se raconte à nouveau mais troque le « je » pour le « il », et, en utilisant cet avatar qu’est Oleg, brouille les pistes et esquive le piège de la trivialité. A travers ces chroniques, tour à tour drôles, incisives, touchantes, voire surprenantes, il lève ainsi (partiellement) le voile sur son métier et son quotidien de dessinateur, et se faisant, pointe nombre de contradictions qui hantent notre époque: ultra-modernité technologique et pensée réactionnaire, culte de la superficialité et quête d’authenticité, surabondance et désarroi. Mais on pourra aussi, tout simplement, lire Oleg comme une belle déclaration d’amour que fait l’auteur à celles qui lui sont le plus proches – et comme un rappel, dépourvu de mièvrerie, que c’est cette force-là qui nous permet de sublimer le banal, et de tenir face à l’adversité.