L'actualité sur Parfois les ennuis mettent un chapeau
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2012 • BD (divers) de José Parrondo
Résumé : « Quand je parle tout seul je m'écoute attentivement car j'ai peut-être des choses importantes à dire ». Les petits carnets de cuir de José Parrondo compilent une somme édifiante de considérations afférentes aux choses de la vie sous l'exercice sobre et modeste d'une phrase attelée à un dessin synthétique au crayon de couleur ou à l'aquarelle. Interrogeant les corps de métiers, l'imagerie populaire ou encore les cycles de la nature (et si c'était les feuilles qui perdaient leurs arbres ?), l'auteur joue avec les échelles de temps, de taille et d'espace. Recréant un rapport au monde quasiment ludique, avec un ton qui rappelle parfois au Journal de Jules Renard, Parfois les ennuis mettent un chapeau, dans la parfaite continuité de La Porte, éclaire alors certaines vérités d'une lueur tout à fait poétique.
2012 • BD (divers) de José Parrondo
Résumé : « Quand je parle tout seul je m'écoute attentivement car j'ai peut-être des choses importantes à dire ». Les petits carnets de cuir de José Parrondo compilent une somme édifiante de considérations afférentes aux choses de la vie sous l'exercice sobre et modeste d'une phrase attelée à un dessin synthétique au crayon de couleur ou à l'aquarelle. Interrogeant les corps de métiers, l'imagerie populaire ou encore les cycles de la nature (et si c'était les feuilles qui perdaient leurs arbres ?), l'auteur joue avec les échelles de temps, de taille et d'espace. Recréant un rapport au monde quasiment ludique, avec un ton qui rappelle parfois au Journal de Jules Renard, Parfois les ennuis mettent un chapeau, dans la parfaite continuité de La Porte, éclaire alors certaines vérités d'une lueur tout à fait poétique.
2012 • BD (divers) de José Parrondo
Résumé : « Quand je parle tout seul je m'écoute attentivement car j'ai peut-être des choses importantes à dire ». Les petits carnets de cuir de José Parrondo compilent une somme édifiante de considérations afférentes aux choses de la vie sous l'exercice sobre et modeste d'une phrase attelée à un dessin synthétique au crayon de couleur ou à l'aquarelle. Interrogeant les corps de métiers, l'imagerie populaire ou encore les cycles de la nature (et si c'était les feuilles qui perdaient leurs arbres ?), l'auteur joue avec les échelles de temps, de taille et d'espace. Recréant un rapport au monde quasiment ludique, avec un ton qui rappelle parfois au Journal de Jules Renard, Parfois les ennuis mettent un chapeau, dans la parfaite continuité de La Porte, éclaire alors certaines vérités d'une lueur tout à fait poétique.
2012 • BD (divers) de José Parrondo
Résumé : « Quand je parle tout seul je m'écoute attentivement car j'ai peut-être des choses importantes à dire ». Les petits carnets de cuir de José Parrondo compilent une somme édifiante de considérations afférentes aux choses de la vie sous l'exercice sobre et modeste d'une phrase attelée à un dessin synthétique au crayon de couleur ou à l'aquarelle. Interrogeant les corps de métiers, l'imagerie populaire ou encore les cycles de la nature (et si c'était les feuilles qui perdaient leurs arbres ?), l'auteur joue avec les échelles de temps, de taille et d'espace. Recréant un rapport au monde quasiment ludique, avec un ton qui rappelle parfois au Journal de Jules Renard, Parfois les ennuis mettent un chapeau, dans la parfaite continuité de La Porte, éclaire alors certaines vérités d'une lueur tout à fait poétique.
2012 • BD (divers) de José Parrondo
Résumé : « Quand je parle tout seul je m'écoute attentivement car j'ai peut-être des choses importantes à dire ». Les petits carnets de cuir de José Parrondo compilent une somme édifiante de considérations afférentes aux choses de la vie sous l'exercice sobre et modeste d'une phrase attelée à un dessin synthétique au crayon de couleur ou à l'aquarelle. Interrogeant les corps de métiers, l'imagerie populaire ou encore les cycles de la nature (et si c'était les feuilles qui perdaient leurs arbres ?), l'auteur joue avec les échelles de temps, de taille et d'espace. Recréant un rapport au monde quasiment ludique, avec un ton qui rappelle parfois au Journal de Jules Renard, Parfois les ennuis mettent un chapeau, dans la parfaite continuité de La Porte, éclaire alors certaines vérités d'une lueur tout à fait poétique.
2012 • BD (divers) de José Parrondo
Résumé : « Quand je parle tout seul je m'écoute attentivement car j'ai peut-être des choses importantes à dire ». Les petits carnets de cuir de José Parrondo compilent une somme édifiante de considérations afférentes aux choses de la vie sous l'exercice sobre et modeste d'une phrase attelée à un dessin synthétique au crayon de couleur ou à l'aquarelle. Interrogeant les corps de métiers, l'imagerie populaire ou encore les cycles de la nature (et si c'était les feuilles qui perdaient leurs arbres ?), l'auteur joue avec les échelles de temps, de taille et d'espace. Recréant un rapport au monde quasiment ludique, avec un ton qui rappelle parfois au Journal de Jules Renard, Parfois les ennuis mettent un chapeau, dans la parfaite continuité de La Porte, éclaire alors certaines vérités d'une lueur tout à fait poétique.
Ennui quasi-complet : des monostrips mignons, crayonnés, aux petits bonhommes à la tête et au nez ronds, avec une phrase un peu poétique, un peu rigolote, légère et vite envolée ; déjà lu déjà passé. "Les gardes placés à tous les coins du château n'ont pas pu empêcher la tristesse d'envahir le roi."
Le 26 févr. 2022
2012 • BD (divers) de José Parrondo
Résumé : « Quand je parle tout seul je m'écoute attentivement car j'ai peut-être des choses importantes à dire ». Les petits carnets de cuir de José Parrondo compilent une somme édifiante de considérations afférentes aux choses de la vie sous l'exercice sobre et modeste d'une phrase attelée à un dessin synthétique au crayon de couleur ou à l'aquarelle. Interrogeant les corps de métiers, l'imagerie populaire ou encore les cycles de la nature (et si c'était les feuilles qui perdaient leurs arbres ?), l'auteur joue avec les échelles de temps, de taille et d'espace. Recréant un rapport au monde quasiment ludique, avec un ton qui rappelle parfois au Journal de Jules Renard, Parfois les ennuis mettent un chapeau, dans la parfaite continuité de La Porte, éclaire alors certaines vérités d'une lueur tout à fait poétique.
2012 • BD (divers) de José Parrondo
Résumé : « Quand je parle tout seul je m'écoute attentivement car j'ai peut-être des choses importantes à dire ». Les petits carnets de cuir de José Parrondo compilent une somme édifiante de considérations afférentes aux choses de la vie sous l'exercice sobre et modeste d'une phrase attelée à un dessin synthétique au crayon de couleur ou à l'aquarelle. Interrogeant les corps de métiers, l'imagerie populaire ou encore les cycles de la nature (et si c'était les feuilles qui perdaient leurs arbres ?), l'auteur joue avec les échelles de temps, de taille et d'espace. Recréant un rapport au monde quasiment ludique, avec un ton qui rappelle parfois au Journal de Jules Renard, Parfois les ennuis mettent un chapeau, dans la parfaite continuité de La Porte, éclaire alors certaines vérités d'une lueur tout à fait poétique.
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Résumé : « Quand je parle tout seul je m'écoute attentivement car j'ai peut-être des choses importantes à dire ». Les petits carnets de cuir de José Parrondo compilent une somme édifiante de considérations afférentes aux choses de la vie sous l'exercice sobre et modeste d'une phrase attelée à un dessin synthétique au crayon de couleur ou à l'aquarelle. Interrogeant les corps de métiers, l'imagerie populaire ou encore les cycles de la nature (et si c'était les feuilles qui perdaient leurs arbres ?), l'auteur joue avec les échelles de temps, de taille et d'espace. Recréant un rapport au monde quasiment ludique, avec un ton qui rappelle parfois au Journal de Jules Renard, Parfois les ennuis mettent un chapeau, dans la parfaite continuité de La Porte, éclaire alors certaines vérités d'une lueur tout à fait poétique.
2012 • BD (divers) de José Parrondo
Résumé : « Quand je parle tout seul je m'écoute attentivement car j'ai peut-être des choses importantes à dire ». Les petits carnets de cuir de José Parrondo compilent une somme édifiante de considérations afférentes aux choses de la vie sous l'exercice sobre et modeste d'une phrase attelée à un dessin synthétique au crayon de couleur ou à l'aquarelle. Interrogeant les corps de métiers, l'imagerie populaire ou encore les cycles de la nature (et si c'était les feuilles qui perdaient leurs arbres ?), l'auteur joue avec les échelles de temps, de taille et d'espace. Recréant un rapport au monde quasiment ludique, avec un ton qui rappelle parfois au Journal de Jules Renard, Parfois les ennuis mettent un chapeau, dans la parfaite continuité de La Porte, éclaire alors certaines vérités d'une lueur tout à fait poétique.
2012 • BD (divers) de José Parrondo
Résumé : « Quand je parle tout seul je m'écoute attentivement car j'ai peut-être des choses importantes à dire ». Les petits carnets de cuir de José Parrondo compilent une somme édifiante de considérations afférentes aux choses de la vie sous l'exercice sobre et modeste d'une phrase attelée à un dessin synthétique au crayon de couleur ou à l'aquarelle. Interrogeant les corps de métiers, l'imagerie populaire ou encore les cycles de la nature (et si c'était les feuilles qui perdaient leurs arbres ?), l'auteur joue avec les échelles de temps, de taille et d'espace. Recréant un rapport au monde quasiment ludique, avec un ton qui rappelle parfois au Journal de Jules Renard, Parfois les ennuis mettent un chapeau, dans la parfaite continuité de La Porte, éclaire alors certaines vérités d'une lueur tout à fait poétique.
2012 • BD (divers) de José Parrondo
Résumé : « Quand je parle tout seul je m'écoute attentivement car j'ai peut-être des choses importantes à dire ». Les petits carnets de cuir de José Parrondo compilent une somme édifiante de considérations afférentes aux choses de la vie sous l'exercice sobre et modeste d'une phrase attelée à un dessin synthétique au crayon de couleur ou à l'aquarelle. Interrogeant les corps de métiers, l'imagerie populaire ou encore les cycles de la nature (et si c'était les feuilles qui perdaient leurs arbres ?), l'auteur joue avec les échelles de temps, de taille et d'espace. Recréant un rapport au monde quasiment ludique, avec un ton qui rappelle parfois au Journal de Jules Renard, Parfois les ennuis mettent un chapeau, dans la parfaite continuité de La Porte, éclaire alors certaines vérités d'une lueur tout à fait poétique.