L'emmerdeur prend des rides, mais ne perd rien de sa mauvaise humeur

Amusant ce sixième tome. Ici, on voit, comme l'indique la couverture, Lampil se risquer à la peinture. Dommage qu'il n'y ait pas plus de nouveauté, pour le reste, c'est assez classique. mais au moins Cauvin connaît bien son univers et ne trahit jamais ses personnages? L'on peut constater aussi qu'il se donne plus d'importance qu'auparavant, ce qui permet de sortir un peu de la routine de Lampil. Dommage, toutefois, que son caractère ne soit pas aussi clairement défini que celui de son dessinateur. Lambil offre du bon boulot graphiquement, rien à redire.

Bref, un album très sympa à lire.
Fatpooper
7
Écrit par

Créée

le 2 févr. 2014

Critique lue 101 fois

Fatpooper

Écrit par

Critique lue 101 fois

Du même critique

Les 8 Salopards
Fatpooper
5

Django in White Hell

Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...

le 3 janv. 2016

122 j'aime

35

Strip-Tease
Fatpooper
10

Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer

Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...

le 22 févr. 2014

121 j'aime

45

Taxi Driver
Fatpooper
5

Critique de Taxi Driver par Fatpooper

La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...

le 16 janv. 2011

108 j'aime

55