L'emmerdeur prend des rides, mais ne perd rien de sa mauvaise humeur
Amusant ce sixième tome. Ici, on voit, comme l'indique la couverture, Lampil se risquer à la peinture. Dommage qu'il n'y ait pas plus de nouveauté, pour le reste, c'est assez classique. mais au moins Cauvin connaît bien son univers et ne trahit jamais ses personnages? L'on peut constater aussi qu'il se donne plus d'importance qu'auparavant, ce qui permet de sortir un peu de la routine de Lampil. Dommage, toutefois, que son caractère ne soit pas aussi clairement défini que celui de son dessinateur. Lambil offre du bon boulot graphiquement, rien à redire.
Bref, un album très sympa à lire.