Le duo Cauvin-Kox n'apporte toujours rien de neuf avec cette série que les éditeurs feraient mieux d'arrêter. Par moment, je ne comprends tout simplement pas où est la blague, je la cherche. Puis parfois on anticipe dès la première case et on se dit : "ha.". L'agent 212 souffre d'un manque de nouveaux personnages ainsi que d'un approfondissement des anciens. On s'ennuie car le scénariste tourne en rond, a déjà tout dit depuis longtemps sur cet univers.
Kox peine également à rendre les gags efficaces. En gros il dessine des personnages qui ont l'air fâchés ou qui, au contraire, se bidonnent. Mais ça ne suffit pas, surtout depuis qu'il a arrondi ses personnages (ces derniers ont perdu en expressivité).
Bref, une belle déchéance que ce tome 18. Ca reste pratique tuer une demie heure, mais ça ne procure aucun plaisir particulier.