La conclusion du premier cycle des aventures de Nao est auréolée sous le symbole d'un après pour la planète Aquablue, qui semblait partir en pleine déperdition sous le contrôle ferme de la Légion. Le problème majeur à faire à ce volume est, d'une certaine manière, la pierre qualité du dessin, en particulier dans le final, et encore plus quand on se rend compte de la différence entre ce tome là et celui d'avant.
C'est un peu triste de conclure le premier cycle ainsi, mais la découverte des origines des peuplades de Aquablue étoffe grandement le lore et offre une scène d'action final assez grandiose et, mine de rien, correctement mise en scène.