Dans ce tome 5, le dessinateur change. C'est souvent de bien mauvais augure. Cependant, dans le cas présent, je trouve que Tota s'en sort tout à fait honorablement. Son dessin est maîtrisé et ne jure pas avec celui de son prédécesseur. Les couleurs sont à l'unisson des opus précédents.
Le scénario, de son côté, évolue comme on pouvait le supposer. La technologie sera finalement le salut des peuples d'Aquablue. Nous sommes quasiment en présence d'un deus ex machina mais ça passe sans trop heurter le lecteur.
Bon, la fin est un peu vite réglée et le happy end bien facile. On se fait la bise et on oublie tout. Ça aurait pu être moins vite expédié.
L'album dans son ensemble se lit cependant toujours avec plaisir.
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