Quand faut y aller... - The Boys, tome 6 par Kab
Début de l’arc faut y aller, Ennis maîtrise toujours aussi bien sa barque et après s’être attaqué à la JLA, Batman et autres, il passe maintenant au tour des X-Men et de leurs multiples groupe.s Comme toujours la critique est drôle et très réelle. Pour l’histoire en elle même, pour le moment , il est difficile d’en faire une critique car il manque encore quatre épisodes.
Darrick Robertson est comme toujours au top, son trait si reconnaissable est parfait à l’ambiance pipi caca crado que veut son complice scénariste. Il se fait remplacer par John Higgins dans le dernier épisode et le changement est brutal. Le trait est plus fin, moins sombre. Malgré de bonnes qualités et après s’être habitué au style de Robertson, le changement est trop grand et casse la lecture.
Pour finir, un coup de gueule à Panini qui se permet de sortir en une fois les sept derniers épisodes de Powers, mais qui ne peut faire pareil pour The Boys coupant alors un arc en deux. Je ne comprends pas pourquoi la série de Bendis a un traitement de faveur. Pour le coup, je suis assez dégoûté car quatre épisodes, ça fait quand même très léger.