Voilà un scénario qui se prête sans doute bien mieux au cinéma qu'à la bande dessinée. Audiard ou Kassovitz pourraient en effet faire de la dynamite de cette bien sale histoire, du moins en rajoutant un peu de sous-intrigues et en touillant de meilleurs dialogues. On tiendrait alors le Arlington Road français. Ce qui n'est pas rien, tout de même...
En attendant, c'est une bédé de 250 pages qui pourrait tenir en 50. Mouais...
Et, tiens, oui, Vivès semble quand même fort apprécier de dessiner des adolescentes à poil même dans des intrigues qui n'en demandent pas.