Ce volume s'articule autour de deux cycles "familiaux", le premier mettant en scène Orphée (et hop, on revisite le mythe grec à la sauce Gaiman), le second une quête au sein même de la famille des Infinis : le Délire et le Rêve partent à la recherche de Destruction, qui a renoncé à ses fonctions voilà trois siècles.
Comme les précédents épisodes de la série, ceux qui composent ce tome excellent dans la narration, le traitement des personnages et l'ambiance qui les accompagne. La construction des planches magnifie encore l'ensemble, s'adaptant elle aussi aux Infinis (certains discours du Délire sont assez hallucinants), imposant un rythme et une atmosphère uniques.
De la très grande BD.