Conquis par Suicide Squad
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On ne va pas de le cacher : Harley Quinn Rebirth et Deathstroke Rebirth sentaient le sapin dès le début.
Dans ce 4e tome, heureusement que les numéros de Suicide Squad embellissent un peu le sommaire parce que les issues d'Harley Quinn et Deathstroke se vautrent allègrement dans un gloubi boulga indigeste de beaufitude affligeante. Et pourtant j'ai toujours adoré Amanda Conner et Jimmy Palmiotti mais on est tellement loin de ce qu'ils ont pu produire sur Power Girl par exemple.
Quant à Christopher Priest, il parvient à nous perdre dans un récit pseudo complexe (mal) desservi par une écriture fainéante.
Malheureusement les (toujours superbes) dessins de Conner et Pagulavan ne parviennent pas sauver les meubles déjà bien entamés par les flammes d'une écriture beauf et désastreuse.
À jeter.
Créée
le 24 juil. 2019
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Bon dieu que c'est mauvais, et dire que le réalisateur a fait un de mes films préférés... On est tellement loin de the machinist que je peine à croire que ce soit le même Brad Anderson.
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