Les deux auteurs ont manifestement un coup de mou après avoir conclu un gigantesque arc. Personnellement ça ne me dérange pas, mais si j'étais tombé sur cette histoire avant les autres j'aurais eu du mal à y voir de l'intérêt. Il y a clairement une sorte de remise en question post-accomplissement comme Hergé a eu après "on a marché sur la lune".
Nos deux héros semblent représenter les auteurs dans leur perdition ou leur désœuvrement, avec ce Jal comme nostalgique conscient de la perte que compose la conclusion de l'arc précédent.
En conclusion cette histoire semble donc être une courbature post-effort. Qui n'est intéressante qu'en ayant participé/expérimenté cet effort.