Cette critique contient du spoil
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Le lieutenant Grantz, qui dans le tome précédent était hésitant et faisait acte d’insubordination face au massacre d'arène, fut reprit violemment par Tanya mais dans ce tome on le voit reprendre violemment un soldat ayant peur dû au surnombre ennemis, cela appuie encore plus l’un des propos étant que pour faire un bon soldat il faut le broyer, cette façon de faire avait très bien marché à l’arrivée de Serebryakov sur le Rhin et lors de la formation du 203e bataillon même si le principe était originalement de se débarrasser d’eux en leur faisant vivre l'entrainement le plus dur que l'empire ait connue.
L'on peut observer également la façon dont l’empire communique sur les événements survenus et fait de la propagande allant dans leur sens, ce qui est assez intéressant.
La scène de sauvetage de Serebryakov par Tanya remontre une part de leur relation qu’on ne voyait plus depuis quelques tomes et qui est appréciable de voir un peu plus.
Le passage entre Weiss et Grantz est assez révélateur sur l'efficacité des méthodes de Tanya pour transformer ses soldats en l'élite de l'armée en peu de temps, puis nous rappelle en quelque sorte pourquoi ses soldats sont bien plus efficaces, puissants, rapides, violents, ou bien plus en absence de moralité que n'importe quelle autre bataillon