Sans édulcorant
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le 10 juil. 2020
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Comics de Mark Waid, Brian Augustyn, Oscar Jimenez, Humberto Ramos et Jim Cheung ()
Des antagonistes trop peu développés tout d'abord. Pour le premier arc, Savitar était une réelle menace dans la série télé. Il en imposait et était vraiment menaçant. Ici, c'est un méchant lambda (look, motivations) donc on attend bien sagement que Flash et ses acolytes lui mettent sa raclée. Et comme il n'a aucune envergure, il y a peu de satisfaction à le voir perdre. Le deuxième arc évite un peu cet écueil puisque l'antagoniste est un héro. Pour le coup, il est nettement plus développé mais lui aussi manque de grandeur. Même dans son pathétisme, il est plutôt tiède.
Le second point c'est de mettre systématiquement en avant, comme centre scénaristique, l'amour de Wally et Linda. C'est bon, on a compris depuis le temps. C'est vraiment tartignole et, à force, j'ai plus l'impression que c'est pour les convaincre eux que les lecteurs.
En point subsidiaire, cette manie d'enlever son originalité à Flash en le mettant en compagnie d'autres speedsters est lassante à force. Très bien, les pouvoirs de Flash sont énormes et imaginer des ennemis ou des circonstances capables de l'arrêter est compliqué mais c'est un peu trop facile là.
Côté dessins, j'aime beaucoup Oscar Jimenez donc j'étais plutôt content. Humerto Ramos qui s'occupe d'Impulse a d'énormes problèmes avec les pieds: non seulement ils sont énormes par rapport aux personnages mais ils sont dans des positions impossibles pour toucher terre. C'est vraiment raté sur ce point. Pour les derniers numéros, c'est Jim Cheung qui est loin de ce qu'il peut faire de nos jours.
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le 10 juil. 2020
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