Enfin, Perez part vers d'autres cieux plus blancs avec Crisis on Infinite Earths qui se profile ce qui fait qu'on n'y a le droit qu'aux deux premiers numéros, le dernier étant quand même double puisque c'est le #50 avec le mariage de Donna Troy avec son photographe. Carmine Infantino vient donner un coup de main à Perez avec une histoire parallèle au #49 avec Kid Flash contre Doctor Light.
Ces #48 à 58 m'ont vraiment fait penser à du X-Men période Byrne/Claremont. De l'action, les personnages aux proies à leurs démons intérieurs, de nouveaux personnages qu'on apprend à connaître, de l'humour et une camaraderie entre des héros qui peuvent aussi avoir des désaccords plus ou moins profonds.
C'est admirablement écrit, des arcs se terminent alors que d'autres s'ouvrent, on ne s'ennuie jamais et ça ne se lit pas en 5 minutes chrono. Bon George Perez au dessin est toujours aussi spectaculaire mais ses successeurs sont dans la très bonne moyenne de la DC School qui ne vient pas faire tâche par la suite.