Rien à voir avec un train à grande vitesse qui parcourrait le Benelux, non non!
Plantons le décor : New York, fin du golden age soit la fin des années 50. Un jeune photographe sauve la vie d'un vieux qui se faisait agresser.
Eclairage de la scène : en remerciement, il lui donne un talisman qui lui permet de revenir en arrière et de changer sa vie.
Prises de vue : Contrairement à Bill Murray et son jour de la marmotte (Un Jour sans fin, 1993), notre héros peut slider (les mondes parallèles 1995) d'une de ses vies à l'autre sur le principe d'une infinité d'infinis, principe développé par un des personnages (Basé sur la théorie des ensemble du mathématiciens Georg Cantor?). D'où quelques tiraillement du héros quant à la morale à tenir par rapport à sa recherche du bonheur dans sa vie.
Le petit oiseau : Un twist final, complètement inattendu pour moi, viens surprendre le héros à la fin de sa vie. (M Bonin a-t-il réussi à endormir mon esprit critique?)
Le dessin est original, l'idée de base également, et le traitement des couleurs adapté à l'époque de la narration. Une jolie lecture 2016 !