Mais dans un autre sens, cette fois.
D'une espèce de flip note ultime, un Ranma 1/2 version seinen.
J'avais déjà dit que tout n'était principalement qu'articulations, dans n'importe quelle fabrication de tout et n'importe quoi (reprendre le titre de la série de films VHS est donc bien parlant pour la compréhension de tout un chacun), que se passe-t-il quand une œuvre est uniquement fait de telles conceptions.
Pour adultes, car écrémé de tout substance pour n'être que points d'accroches : entre soi et tous les points de vue de toutes les vies, toutes les interprétations de tous les esprits.
Chaque image étant une porte vers un autre monde et pas un paysage du manga que vous êtes en train de lire.
Sauf qu'on suit bel et bien l'histoire d'un seul homme, dans un seul grand monde, au maximum : l'Asie.
Donc au final, ils ne sont tous qu'intérieurs, décrivant les scènes qu'il se fait, si puissantes soient elles, à chaque fois qu'il élimine quelqu'un à l'autre bout de son univers de tueur à gages.
La vie de la morte éclatant sur les quatre coins de la pièces, si tout n'est qu'ondes, c'est peut-être ca que ressentent tous les meurtriers après une première pression à froid.
Comme si ils savaient qu'ils perdaient leur vie, captant donc les dernières émanations de vitalité, s'accaparant le monde déjà pensé, pour s'échapper de leur propre prison quand ils auront le temps.