Une de plus
Dis Monsieur Sfar tu veux pas arrêter un peu de sortir une BD à la minute car franchement cela devient pénible. Celle-ci est creuse, facile et auto centré un peu comme tes films. Merci
le 1 mai 2016
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Seabearstein, un peintre en couple avec Mireille Darc (surnom qu'il donne à sa fiancée), prépare une exposition pour le musée d'Orsay. Pour cela, il va peindre sa dulcinée dans le plus simple appareil. Entre questionnements, tabous et "brides d'inspiration", le lecteur suit le cheminement de pensée de l'artiste. Ainsi à la vue de tout le monde, sa fiancée ne sera plus qu'à lui. Mireille Darc est belle, très belle mais elle est à lui et il garde jalousement sur elle son œil lubrique et amoureux.
N'y allons pas pas par 4 chemins, cette BD est déroutante ! Bien qu'abordant la question de la vie de couple, elle n'est pas relatée de manière habituelle (rien d'étonnant avec Sfar). Nous survolons ici des instants fugaces où l'émotion et le sensoriel prend le pas sur le factuel. Il n'est pas ici question de premier repas chez la belle mère ou de récit d'emménagement dans les moindres détails. Sfar s'en tient aux ressentis de ses personnages. Dans celui de Seabearstein, il met une part de lui-même, de ses doutes, de ses obsessions. Cette BD n'est pas une BD "easy reading". Elle demande du temps au lecteur pour qu'il l'apprivoise, la comprenne et l'aime.
Lire l'intégralité de la critique sur le blog : http://cafardsathome.canalblog.com/archives/2016/04/29/33737046.html
Créée
le 29 avr. 2016
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Dis Monsieur Sfar tu veux pas arrêter un peu de sortir une BD à la minute car franchement cela devient pénible. Celle-ci est creuse, facile et auto centré un peu comme tes films. Merci
le 1 mai 2016
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Le lien : http://wp.me/p2X8E2-FN Le texte : Les premières pages laissent clairement le lecteur pantois : mais où donc Joann Sfar veut-il nous emmener ? La première démarche consiste donc à accepter...
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le 15 juin 2016
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