J'aime bien les expressions que Kox donne à ses personnages. C'est pour la première fois dans cet album que l'agent 212 va se mettre à baver de rage. Tous ces gestes excentriques ne sont pas sans rappeler le cinéma muet. Ca permet de dynamiser les gags un peu mous de Cauvin.
Parce que question blagues, Cauvin ne se creuse toujours pas plus la cervelle. C'est facile, c'est pas très drôle, ça fait juste sourire. Ca manque de surenchère. Petit constat : Cauvin semble adorer se moquer des gays : on retrouve des blagues à ce sujet dans toutes ses séries !
Bref, un divertissement pas particulièrement mémorable.