Ce qui est certain, c'est qu'il est compliqué de faire plus grandiloquent qu'un crossover qui voit deux empires galactiques se foutre sur la tronche.
Ce qui est certain, c'est que ni les Inhumains ni les Shi'ar menés par Vulcain* ne remportent l'adhésion du lecteur. Ils ont clairement tous torts et on se dit que quelque soit le vainqueur, ça ne va rien arranger. Comme quoi, on a pas attendu Death of X pour avoir des Inhumains tueurs sanguinaires.
Ce qui est certain, c'est que les intermèdes Guardians of the Galaxy, soit dans la mini-série soit dans leur propre série que j'ai lue en parallèle, sont nettement plus agréables à lire. Ce qui est grandiloquent devient cosmique et épique, ce qu'ils vivent est beaucoup plus important que le crossover qui n'est qu'une toile de fond. Pour faire une analogie, c'est un peu comme dans Game of Thrones: des bisbilles pour savoir qui va poser ses fesses sur le trône alors que les White Walkers déferlent sur le continent. Mais en réussi ici.
Ce qui est certain, c'est que lorsque Pelletier s'approche d'Alan Davis, c'est meilleur que lorsqu'il s'en éloigne. Heureusement, il tient plutôt bien le niveau sur les 8 numéros.
*que ce personnage unidimensionnel désormais oublié ait été si important est comique lorsqu'on y pense