Alors que personne encore n'avais mis un pied sur la lune, Stanley Kubrick nous transporte dans un voyage dans les étoiles, en pleine espace, entre les planètes et la lune ... Souciant de perfection, la scène d'ouverture pourrais paraître complétement loupé, inutile voir nul, un écran qui pendant 3 minute reste entièrement noir avec comme seul fond une musique qui en dit long sur la suite, mais tout le génie du réalisateur prend forme part la suite avec une première partie d'un quart d'heure retracant l'ère animal/préhistorique et l'apparition d'un objet rectangulaire d'une forme parfaite, un monolithe noir provenant d'une autre planète sur une musique des plus perturbante et c'est avec brio que le réalisateur, de cette période a celle de l'Homme et des machines, nous plongeant dans un ballet galactique, la camera, les plans sont impressionnant de justesse, de maestria, la parfaite concordance des mouvement de rondeur, de ligne atteigne la perfection. Le film entre alors dans un monde futuriste, Stanley Kubrick nous envois en 2001 soit 33 ans dans le futur par rapport a la sorti de son oeuvre. Dans une ambiance plus claire, salle blanche avec des fauteuil rouge, tres pur, voyant (ce qui est sans rappelé shining realisé plus tard) il alterne avec la noirceur de l'espace et du monolithe qui reviendra, posé sur la lune, dont on y voit une base d'astronaute ... L'Homme se comportera de la même manière que les pré-humains du début, les même reflexes ... mais ou veut en venir Kubrick ? La mission va prendre de l'ampleur, direction Jupiter pour retrouvé cette mysterieuse chose, a bord d'une navette, les mouvement d'apesenteur, de symetrie, voir ces personne marché a l'envers, la camera qui les suit, la douceur avec laquel le cineaste americain film l'ensemble de la vie sur cette plateforme laisse bouché bée. Et comme un grand visionnaire, il va mettre L'Homme face a la machine, il touche la modernisation, et l'infaillibilité du progres contre l'erreur humaine ... finalement Stanley Kubrick nous met en garde. Et c'est dans un final a coupé le souffle, ce défoulant sur des effet speciaux a en faire palir tout les film actuel qu'il nous emmène dans un tourbillon lumineux et éblouissant, un voyage dans le temps, les couleurs se mélange, les élément perdent forme, les montagne paraisse volcan et les mers prairie ... on est perdu dans l'espace temps, n'en croyant pas nos propres yeux d'un tel résultat et d'un coup de genie rappelant quelque peu les couleur d'un celebre tableau d'andy warhol, on se retrouve devant la vieillesse, la fin d'un cycle, la fin d'une vie, et d'un homme, peut etre meme la fin du monde, mais aussi de la vie et d'un recommencement. Stanley Kubrick, en réalisant 2001, l'odyssée de l'espace a touché la perfection absolu, un chef d'oeuvre parmis les chef d'oeuvre, un film sur L'Homme, sur l'Humanité et l'immortalité. Et la grande force du film c'est qu'a chaque visionnage peut venir une nouvelle vision, tout depend de comment perçoit on ce monolithe, objet complexe en qui réside l'eternite du film. Cette odyssée est le Graal du spetième art.