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Après avoir vu trois fois Interstellar au cinéma (deux fois en VF et une fois en VO) je me suis dit qu'il fallait bien ressortir le BluRay de 2001 l'odyssée de l'espace pour me replonger dans ce chef d'oeuvre de la science fiction !
Bing ! La claque reste intacte, toujours cette lenteur, cette sensation de laisser aller dans l'inconnu et tant pis pour tout le reste et pour le futur. Sur la lune l'homme découvre le vestige d'une technologie extraterrestre, il filera vers Jupiter pour découvrir ce qui se cache derrière un tel mystère. Je ne vais pas exprimer tout ce qui a déjà été dit, au sujet du traitement de l'IA avec les scènes cultes qui vont avec par exemple. Mais comme beaucoup de monde malgré ma fascination pour ce film (premier dans mon top 10) j'avoue avoir toujours eu du mal à saisir le sens de la fin. Ayant vu Interstellar et voulant faire un rapprochement, je dirais que Kubrick prend une position où l'homme est un microbe que l'ont met dans une prison/laboratoire qui se rapproche de son milieu naturel, le temps de le voir pourrir pour lui donner ensuite un nouvel élan. Nolan lui c'est plutôt l'homme est poussé dans un trou pour y trouver le moyen de communiquer sur de grandes distances temporelles avec l'amour.