Bien connaître Wong Kar Wai

Je ne conserve qu'un souvenir incertain des critiques que les journalistes de Cannes avaient faites de ce film lors de sa projection au festival, en 2004. Quelque chose de pleurnichard et au limite...

Wong Kar Wai reprend là où il s’en était arrêté avec In the mood for love. Comme si cette œuvre continuait à le hanter. 2046 s’apparente à une suite sans en être réellement une ; où réapparaît le...

Vite dégouté par ce film qui se voudrait aussi élégant qu'il est surfait, et sombre dans une sorte de maniérisme contemplatif stérile : ses excès d'un nombrilisme certes assumé - joli parfois, long...

Woody invoque la magie et le fantastique pour une des plus belles déclaration d'amour au cinéma jamais faite.

La radicalité du geste de Kechiche ne doit pas masquer son ambition première: interroger les limites du cinéma en matière de temps et d'espace.

Kitano dit adieu à son personnage né 11 ans plus tôt dans Violent cop (tantôt flic, tantôt gangster). Et c'est absolument bouleversant.