Le pere absent mais qu'est en fait un grand altruiste, les decors et graphiques basiques trouvés sur google image (cliché ville et costumes futuristes), les gros mechants qui veulent juste se barrer et laisser tout le monde y passer (aka 2012 qui etait deja pas non plus un chef d'oeuvre de scenario), une musique qui tente desesperement de donner les frisson parce que c'est clairement pas le "heros" antipathique qui va faire le taf sur la profondeure des emotions, des flashbacks de son enfance pour finir et on a un bon gros navet prévisible jusqu'a la derniere seconde. On a autant envie de voir clamser le heros que le caniche du voisin qui pleure et qui gueule tout le temps mais meme sa mort on nous l'eneleve.
Ce qui est toujours etonnant sur ce genre de bide c'est que sur tous ceux qui travaillent decu y en ai pas un ou 2 qui disent " tiens peut etre qu'on est en train de produire une daube".