Et je suis gentil
Ce film serait à lui tout seul un réquisitoire contre l'écriture scénaristique. Les panneaux pub sont un prétexte qui écarte profondément le drame d'une femme. En définitive, le drame de cette femme c'est elle même, une personne insupportable, conne à souhait, moins victime que coupable et qui, comble du scandale, ose faire la leçon à un prêtre.
Les hommes sont des tristes sires mais aucun ne peut rivaliser de méchanceté et de bassesse avec elle.
On se demande comment les producteurs ont craqué sur cette histoire et sur ce personnage.
A fuir.