Eric Rohmer propose en un seul film 4 « aventures », autant de court-métrages et de courts contes moraux qui étudient la puissance et l'impuissance des mots, la puissance et l'impuissance du silence. Et la difficulté de comprendre l'autre tout autant que de s'en faire comprendre.
Ma critique : http://tedsifflera3fois.com/2011/07/07/4-aventures-de-reinette-et-mirabelle-critique/
ted284
7
Écrit par

Créée

le 8 juil. 2011

Critique lue 749 fois

4 j'aime

ted284

Écrit par

Critique lue 749 fois

4

D'autres avis sur 4 aventures de Reinette et Mirabelle

4 aventures de Reinette et Mirabelle
JanosValuska
8

Recueil et fausse parenthèse.

Tourné pendant la période des Comédies et proverbes, peu avant le sixième volet de cette série, L’ami de mon amie, on peut considérer ces Quatre aventures de Reinette et Mirabelle en tant que retour...

le 19 sept. 2014

7 j'aime

4 aventures de Reinette et Mirabelle
JulietteBidon
10

Critique de 4 aventures de Reinette et Mirabelle par JulietteBidon

un rohmer adorable, quasi dénué d'hétérosexualité (mais rohmer n'est-il pas subrepticement un cinéaste queer ?) et le plus bavard des films sur l'art de fermer sa grande bouche

le 27 août 2019

6 j'aime

5

4 aventures de Reinette et Mirabelle
ted284
7

Critique de 4 aventures de Reinette et Mirabelle par ted284

Eric Rohmer propose en un seul film 4 « aventures », autant de court-métrages et de courts contes moraux qui étudient la puissance et l'impuissance des mots, la puissance et l'impuissance du silence...

le 8 juil. 2011

4 j'aime

Du même critique

4 aventures de Reinette et Mirabelle
ted284
7

Critique de 4 aventures de Reinette et Mirabelle par ted284

Eric Rohmer propose en un seul film 4 « aventures », autant de court-métrages et de courts contes moraux qui étudient la puissance et l'impuissance des mots, la puissance et l'impuissance du silence...

le 8 juil. 2011

4 j'aime

Little Big Man
ted284
5

Critique de Little Big Man par ted284

Après Le Lauréat et Macadam Cowboy, Little Big Man est le film qui achève de faire de Dustin Hoffman une icône du renouveau du cinéma américain des années 70. Ce western sans héros égratigne les...

le 18 juin 2011

3 j'aime

1

Omar m'a tuer
ted284
2

Critique de Omar m'a tuer par ted284

Omar est immigré, ne parle pas français, il est faible et devient le coupable idéal, même si aucune preuve cohérente ne l'accuse. Roschdy Zem raconte exactement ça, sagement, maladroitement, sans...

le 13 juil. 2011

2 j'aime