Après un événement traumatique impliquant du secourisme en montagne et un raton laveur, Ace Ventura cherche la paix intérieure dans un ashram lorsqu’on vient le chercher pour élucider un nouveau mystère : la disparition de la chauve-souris sacrée de la tribu des Wachatis.
Si l’humour de bas-étage pipi-caca vient directement du premier film, ce nouveau décor africain permet une multitude de nouveaux gags encore plus extravagants, toujours portés par un Jim Carrey exceptionnel. Du scénario aux personnages, ce second film semble mieux taillé pour l’humour de la franchise et apporte un —petit— message écolo et anticolonialiste. Petit, hein, ne nous enflammons pas. En tout cas, j’en retiens un plus grand nombre de scènes et de one-liners cultes que le premier.
Bref, à voir si vous avez aimé le premier, la période 90s de Jim Carrey, et encore une fois, que vous avez déjà vu The Mask.