Requiem for a teen
Pour sa première réalisation, Lee Su-Jin se base sur un fait divers ayant retenu son attention dans les journaux, celui de cette jeune fille ayant été obligée de tout laisser derrière elle pour...
Par
le 29 nov. 2014
6 j'aime
Révoltant et… éprouvant. Quelques réserves sur l’utilisation de la musique et des amies en contrepoint du traumatisme initial comme pour donner une note d’espoir alors qu’on commence à en savoir un peu plus sur la tragédie dont a été victime la principale protagoniste. J’aurais souhaité en voir plus sur les manipulations, les corruptions, les intimidations qui ont suivi les faits (traitant des suites de l’affaire, notamment judiciaires), plutôt que de voir un autre choix narratif se faire, moins distant ou documentaire, et plus focalisé sur l’empathie à l’égard de Gong-ju.
Dans ce cas de figure (adaptation d’un fait divers), je serais toujours tenté de privilégier la mise à distance avec le sujet et l’approche quasi-documentaire, voire tenté d’adopter une toute autre manière de présenter les faits en jouant à fond la carte de la stylisation.
Commentaire in peto au complet à lire sur La Saveur des goûts amers
——————————————————————
À retrouver sur La Saveur des goûts amers :
En rab :
Créée
le 27 mai 2019
Critique lue 162 fois
1 j'aime
D'autres avis sur A cappella
Pour sa première réalisation, Lee Su-Jin se base sur un fait divers ayant retenu son attention dans les journaux, celui de cette jeune fille ayant été obligée de tout laisser derrière elle pour...
Par
le 29 nov. 2014
6 j'aime
Un premier long métrage sud-coréen a fait récemment sensation ces derniers mois, cumulant des prix dans des festivals internationaux (Deauville, Rotterdam, Marrakech – où le cinéaste a reçu le prix...
le 12 déc. 2014
3 j'aime
(..) Avec A Cappella, le réalisateur Lee Su-jin garde la même construction qu’il avait opté dans ses premiers films, à savoir offrir une révélation finale inattendue. Dans ce film il laisse pendant...
le 14 nov. 2014
2 j'aime
Du même critique
Parasite, c'est un peu Mademoiselle (Park) délivré de son érotisme durassien et se rapprochant à la fois de Molière et de Shakespeare : du sang et des fourberies. Il y a une fable amusante dans...
le 14 juin 2019
7 j'aime
Ozu ou l'incommunicabilité heureuse. Être là et savoir s’en contenter. Comme la triste vitalité d’un saule.Il y a quelque chose de reposant chez Ozu : où sont donc passés les personnages...
le 26 oct. 2023
7 j'aime
L’histoire d’une mouche myope partie à la recherche de ses lunettes. Le Grand Meaulnes attend sa grande adaptation.Étrange film que voilà. On dirait l’histoire d’une mouche myope partie à la...
le 23 oct. 2023
6 j'aime