Le tueur souffre d'acnée juvénile.
Bon, dans les années 90, Nirvana aurait signé la bande originale.
La bande d'ados têtes à claques aurait porté des jeans troués, et arboré de superbes coupes de cheveux bien longs et sales.
Natural Born Killers surfait sur une vague un peu similaire, mise à part que la chanson de Lard était bien plus cool que la musique "hard propre" de Linkin Park.
Sinon, pas grand chose à dire, ça ne vole pas très haut, malgré tout, et le propos soi disant subversif se perd dans les scènes porteuses d'une pseudo esthétique de la guerre en milieu consumériste.
C'est une histoire d'ados, en définitive: un peu de dope, un poil de cul, un brin de flingue, et voilà.
Pour ma part, j'ai zappé un nombre substanciel de passages, car les états d'âmes du puceau rouquin sous ecstasy ... bof bof.
C'est pas du Baudelaire ou du Rimbaud, faut pas déconner.