A double tour, ou l'absence totale de subtilité

La caractéristique principale de ce film, c'est de manquer de tous les éléments d'un bon film "who did it" et d'une bonne critique sociale. Entre Belmondo apôtre de la vérité rigolarde face au couple bourgeois hypocrite et la perversité du frère qui se tord les mains en écoutant de la musique classique, tout est dit.


Et au cas où vous ne l'auriez pas compris, après avoir fait déclarer de but en blanc son méfait par le meutrier, Chabrol l'assortit d'un petit flashback explicatif - histoire qu'il n'y ait pas de doutes possibles.


Décidément, contre les bourgeois hypocrites et pervers, mieux vaut se pinter avec Belmondo et son pote à 11h au café du commerce. Fin, subtil, efficace.

shiningchlochlo
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le 5 déc. 2016

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