4
Messe Noire
Slasher pré-"Halloween" tombé dans un oubli quasi-total, "Alice Sweet Alice" (aussi connu sous une pléiade d'autres titres) est un film assez étrange. Il n'est ni expérimental ni unique en son genre,...
Par
le 20 août 2014
10 j'aime
Si l'on serait tenté de dire que Alice, sweet Alice est un film de genre, ce n'est en fait pas si simple.
Le psycho-killer masqué agissant au couteau de boucher en fait en quelques sortes un précurseur des slashers (2 ans après Massacre à la tronçonneuse mais 2 ans avant Halloween), mais on retrouve également une ambiance de thriller à la Polanski, qui se retrouve notamment dans le côté paranoïaque et dans la musique.
Quelques fois les raccords sont fait à la va-vite, les cadrages étranges et la réalisation un peu brouillonne.
Malgré cela, le film en vaut la peine, ne serait-ce que par la caractérisation des personnages et les thématiques abordées, telles que les enfants meurtriers, le passage de l'enfance à la pré-adolescence, les rapports mère-fille, etc.
Si la réalisation fait parfois un peu amateur au niveau de certains plans, on sent fortement la volonté de faire un grand film, notamment dans la façon dont a été travaillé le scénario et dans la direction d'acteurs.
Au final le film se révèle très intéressant et assez innovant pour l'époque.
Le psycho-killer masqué agissant au couteau de boucher en fait en quelques sortes un précurseur des slashers (2 ans après Massacre à la tronçonneuse mais 2 ans avant Halloween), mais on retrouve également une ambiance de thriller à la Polanski, qui se retrouve notamment dans le côté paranoïaque et dans la musique.
Quelques fois les raccords sont fait à la va-vite, les cadrages étranges et la réalisation un peu brouillonne.
Malgré cela, le film en vaut la peine, ne serait-ce que par la caractérisation des personnages et les thématiques abordées, telles que les enfants meurtriers, le passage de l'enfance à la pré-adolescence, les rapports mère-fille, etc.
Si la réalisation fait parfois un peu amateur au niveau de certains plans, on sent fortement la volonté de faire un grand film, notamment dans la façon dont a été travaillé le scénario et dans la direction d'acteurs.
Au final le film se révèle très intéressant et assez innovant pour l'époque.
6
Écrit par
Créée
le 4 janv. 2011
Critique lue 1.4K fois
8 j'aime
1 commentaire
D'autres avis sur Alice, douce Alice
6
A voir
Si l'on serait tenté de dire que Alice, sweet Alice est un film de genre, ce n'est en fait pas si simple. Le psycho-killer masqué agissant au couteau de boucher en fait en quelques sortes un...
Par
le 4 janv. 2011
8 j'aime
1
7
(Ex)communion sanglante
Édité en DVD il y a plus de dix ans, Alice, Sweet Alice a enfin droit à son édition Blu-Ray dans la collection Angoisses de Rimini Editions. La version intégrale proposée ici nous permet de...
Par
le 9 déc. 2022
5 j'aime
Du même critique
6
A voir
Si l'on serait tenté de dire que Alice, sweet Alice est un film de genre, ce n'est en fait pas si simple. Le psycho-killer masqué agissant au couteau de boucher en fait en quelques sortes un...
Par
le 4 janv. 2011
8 j'aime
1
1
Critique de Le Diable s'habille en Prada par Saugom
Je n'ai absolument pas trouvé le film drôle, mais pas du tout. L'idéologie trimballée dans ce film est à vomir. En effet il fait l'apologie d'un univers de la mode cynique et qui soi-disant dicterait...
Par
le 10 déc. 2010
7 j'aime
5
8
Critique de L'Homme qui voulait savoir par Saugom
Très bonne découverte, une petite claque, c'est toujours bon à prendre ! On ne sait pas trop sur quel pied danser, entre thriller, vigilante, film psychologique, drame, etc. "L'homme qui voulait...
Par
le 7 août 2014
5 j'aime
